Que retenir de toutes ces lectures ? Que le roman noir d’Hevré Le Corre restera mon roman de l’année, que mes valeurs sûres (Daoud, Choplin, Stefansson) ne m’ont pas déçu, que les nouvelles américaines sont définitivement ma tasse de thé, qu’une génération de jeunes auteurs français émerge avec des textes qui dépotent furieusement, que les flops font partie d’une vie de lecteur et que le livre d’Éric Cantona restera comme la plus grande arnaque éditoriale de 2017.
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Mon roman de l'année
La crème de la crème
De bonnes nouvelles
L'Amérique, l'Amérique...
La jeune garde française qui dépote
Les flops de l'année
L'escroquerie de l'année