Résultat ? Bof. Un éloge de la lenteur et d’une certaine forme d’oisiveté qui a tendance a tomber très rapidement dans l’anecdotique. Un ou deux textes surnagent mais l’ensemble est plutôt à classer dans la catégorie « aussi vite lu qu’oublié ». Les références du début des années 2000 semblent déjà datées, Delerm le boomer parle du temps qui passe, de l’évolution de la société et des petits bonheur perdus sur un air de « c’était mieux avant » qui m’a laissé de marbre. Un exercice de style certes maîtrisé mais aussi futile qu’inutile.
La sieste assassinée de Philippe Delerm. Folio, 2005. 95 pages. 6,50 euros
il m'avait bien plu avec "la première gorgée de bière" moi qui n'en bois jamais , mais je pense qu'à force de traquer les petits plaisirs, il finit par se répéter et nous lasser !
RépondreSupprimerComme Luocine, j'avais apprécié sa premiere gorgée de bière (je n'en bois pas non plus 😉). J'ai lu un autre recueil dont j'ai oublié le titre (et le contenu) C'est dommage qu'il ne se renouvèle pas !
RépondreSupprimerDéjà que je ne suis pas du tout tentée par le genre, mais en plus en effet, cet auteur semble tourner en rond...
RépondreSupprimerLe titre, pourtant, m'avait interpellé.
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