Un numéro en partie consacré à la mort, cette salope qui frappe sans crier gare et sans distinction. Déjà, l’éditorial est particulièrement touchant, pour des tas de raisons dont je ne veux pas parler ici. On trouve dans les pages suivantes et sur ce douloureux sujet des romans de Duras (La douleur), de José Giovanni (Le trou), d’Hubert Mingarelli (Un repas en hiver) ou encore de Philippe Besson (Son frère).
Mais il est aussi question dans ce numéro de Pérec (Les choses), du Che (Voyage à motocyclette), de Pierre Bergounioux (La mort de Brune), d’Andreï Makine (La femme qui attendait) et d’Agnès Desarthe (Comment j’ai appris à lire).
Riche, varié et de qualité ce n°3 est vraiment un excellent cru.
Et comme d’habitude, si vous souhaitez recevoir directement ce numéro par mail, n'hésitez pas à me le demander, je me ferais un plaisir de vous l'envoyer.
Très intéressant, je veux bien ce numéro, je t'envoie un mail. Merci.
RépondreSupprimerPas de problème, il est déjà en route vers chez toi.
SupprimerMakine avec mon roman préféré ... je veux :)
RépondreSupprimerMadame est servie ^^
SupprimerTu m'intrigues, je veux bien ce guide des voyages !
RépondreSupprimerJe te le fais parvenir de suite.
SupprimerReçu... merci ! ;-)
RépondreSupprimerPas de quoi, c’est un plaisir ;)
SupprimerJe suis preneur !
RépondreSupprimerJe te fais parvenir ça au plus vite.
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